Depece 17 févr. 2010 à 10:40. Si vous vendez votre maison dans les 5 premiÚres années suivant la construction, vous serez redevables de la TVA sur le prix de vente le futur acquéreur quant à lui aura le droit à des frais de notaire réduit. (mais pour vous, l'histoire de la TVA due n'est pas négligeable, il faut bien le prendre en
Entre deux prises d’un long-mĂ©trage italien Ă  Rome, l’actrice Ă©voque avec nous son nouveau film, l’Homme de la cave ». Une pause entre sĂ©rieux et lĂ©gĂšretĂ©. Comment s’est passĂ©e votre rencontre avec Philippe Le Guay ? BĂ©rĂ©nice Bejo - Elle remonte Ă  quelques annĂ©es, lorsqu’il m’avait proposĂ© un autre film que je n’ai pas tournĂ©. Je me souviens avoir tout de suite aimĂ© ce monsieur Philippe est une sorte d’aristocrate qui use d’un langage soutenu et se dĂ©marque par un phrasĂ© trĂšs particulier. C’est, en outre, un homme extrĂȘmement gentil, respectueux, qui a conservĂ© des valeurs devenues fois, qu’est-ce qui vous a convaincue de le suivre ?BĂ©rĂ©nice Bejo - Je trouvais que cette histoire de conflit entre un propriĂ©taire juif [JĂ©rĂ©mie Renier] et l’acquĂ©reur de sa cave, un homme aux idĂ©es nĂ©gationnistes [François Cluzet], permettait d’aborder un sujet tristement d’actualitĂ©. Et si cela ne semblait pas trĂšs moderne dans la dramaturgie ou mĂȘme dans l’image, je me disais que cette forme, rappelant les vieux thrillers français qu’incarnaient Jean Gabin ou Lino Ventura, pourrait apporter une force au film. Mais, Ă  la lecture, mon personnage ne me semblait pas trĂšs prĂ©sent et mon souhait, comme la plupart des actrices, Ă©tait de ne pas ĂȘtre seulement le faire-valoir du hĂ©ros. Pour y remĂ©dier, j’ai donc beaucoup ƓuvrĂ© afin que la femme de ce propriĂ©taire puisse exister vraiment et monter en partenaires sont JĂ©rĂ©mie Renier et François Cluzet ?BĂ©rĂ©nice Bejo - François et moi avions depuis longtemps envie de nous retrouver sur un projet commun, mais cela ne s’était jamais concrĂ©tisĂ©. Sur ce plateau, il s’est rĂ©vĂ©lĂ© particuliĂšrement heureux, optimiste et trĂšs joueur. Quant Ă  JĂ©rĂ©mie, je le connaissais, et ce que j’aime chez lui, c’est le contraste entre son grain de folie et l’apparente douceur de son visage. Nous avons aimĂ© travailler ensemble, c’était riche et personnage est si bouleversĂ© par l’antisĂ©mitisme de son voisin qu’elle suspecte tout le monde. La comprenez-vous ?BĂ©rĂ©nice Bejo - Au-delĂ  du sentiment de persĂ©cution, ce film montre que l’on peut avoir une vision commune sur le fond, mais s’opposer totalement sur la forme. Cela vient souvent d’un conflit de gĂ©nĂ©- rations. RĂ©sultat, on a beau avoir Ă©tĂ© Ă©levĂ© par nos parents et ĂȘtre censĂ© penser comme eux, la diffĂ©rence d’ñge et d’époque provoque parfois de rĂ©els dĂ©saccords dans les familles. Je le vois avec mes parents, dont les propos peuvent parfois me choquer, mais aussi avec mon fils de 13 ans, qui ne comprend pas toujours mes tant qu’Argentine, avez-vous dĂ©jĂ  ressenti les inconvĂ©nients d’ĂȘtre une Ă©trangĂšre en France ?BĂ©rĂ©nice Bejo - Jamais ! Quand je suis arrivĂ©e Ă  Paris, j’avais 3 ans, je ne parlais pas français, mais je me souviens avoir Ă©tĂ© trĂšs bien accueillie Ă  l’école. C’était dans les annĂ©es 80 et l’arrivĂ©e au pouvoir de François Mitterrand crĂ©ait une certaine euphorie, notamment pour mes parents, qui avaient fui une dictature militaire. Je me revois sur les Ă©paules de mon pĂšre, bravant la foule dans les rues du quartier de la Bastille pour crier sa joie et son optimisme. AprĂšs des annĂ©es de droite au pouvoir, les gens pensaient que le monde allait changer radicalement. Charlie Hebdo et le Canard enchaĂźnĂ© s’en donnaient Ă  cƓur joie et ma famille hal- lucinait devant tant de libertĂ© d’expression. Nous avons Ă©galement eu la chance de demander la nationalitĂ© française juste avant que le gouvernement Pasqua de la premiĂšre cohabitation ne durcisse les lois d’ souvent en Argentine ?BĂ©rĂ©nice Bejo - Depuis trois ans, la pandĂ©mie m’a empĂȘchĂ©e d’y aller, mais j’aimerais y envoyer mes enfants cet hiver. En attendant, nous sillonnons la France pour le plaisir de dĂ©couvrir de nouveaux coins mais aussi par souci Ă©cologique. On ne peut pas partir trop souvent pour l’étranger et il faut revoir un peu nos façons de a-t-il d’argentin en vous ?BĂ©rĂ©nice Bejo - Mon attachement Ă  la famille. Je ne cherche pas Ă  voir mes parents et mes grands-parents tous les week-ends comme en Argentine car, en France, la famille que l’on a créée est la prioritĂ©. Mais j’ai toujours aimĂ© recevoir mes proches Ă  la maison et prĂ©parer un repas pour vingt personnes ne m’effraie avancer, j'ai besoin de dĂ©dramatiser les jeune actrice qui dĂ©butait il y a prĂšs de trente ans est-elle diffĂ©rente de celle d’aujourd’hui ?BĂ©rĂ©nice Bejo - J’ai mĂ»ri, mais je ne pense pas avoir trahi la jeune fille que j’étais en exerçant ce mĂ©tier. J’ai les mĂȘmes valeurs qu’à 20 ans et mon rapport au monde n’a pas changĂ©. MalgrĂ© tout, certaines personnes m’ont permis d’évoluer. Rencontrer Michel Hazanavicius, par exemple, Ă©tait une chance inouĂŻe c’est l’homme qui partage ma vie, mes pensĂ©es, mes dĂ©sirs mais aussi des moments de travail. Je n’arrive pas Ă  croire que nous sommes en couple depuis seize ans et Ă  me dire que le quotidien et le temps qui passe n’ont pas eu raison de nous. Tout le monde ne partage pas ce rĂȘve, mais moi, je sais que cet amour durable m’épanouit. Et si j’ai changĂ©, c’est en partie grĂące Ă  lui car, Ă  ses cĂŽtĂ©s, j’ai gagnĂ© en confiance et en dĂ©rision. Il est trĂšs fort pour voir la vie du bon cĂŽtĂ© ; or, moi, j’ai besoin de dĂ©dramatiser les choses pour avancer. Je n’ai jamais eu la fibre rĂ©volutionnaire de mes parents, je n’aime pas forcĂ©ment l’idĂ©e de tout dĂ©molir pour rebĂątir. Ma vie de femme comme ma carriĂšre se sont construites petit Ă  avez tourné à nouveau sous sa direction dans Z comme Z. De quoi s’agit-il ?BĂ©rĂ©nice Bejo - C’est un film de zombies qu’il a réalisé vite et avec un petit budget le temps de financer son adaptation, en animation, du livre de Jean-Claude Grumberg, la Plus Précieuse des Marchandises. Je me suis beaucoup amusée à jouer l’actrice de ce film de série Z avec Romain Duris, Finnegan Oldfield et Grégory Gadebois. Tous, nous avons adoré être mis en scène par Michel, car c’est un magnifique directeur d’acteurs. Je ne peux pas dévoiler grand-chose de plus, mais cela marquera le retour d’Hazanavicius à la comédie et il y redira son bonheur d’être sur un plateau pour filmer coûte que coûte. Bref, après The Artist, ce sera une nouvelle déclaration d’amour au s’est déroulé votre été ?BĂ©rĂ©nice Bejo - J’ai tourné, sur l’île de La Réunion, un film de Mélissa Drigeard inspiré d’un événement survenu en 2018. Il suit une bande de copains débarqués à Hawaii lorsqu’un état d’alerte est déclenché après une suspicion de tir de missiles. Les craintes sont vite dissipées, mais la panique ayant provoqué déclarations d’amour et règlements de compte, ils devront composer, pour le reste des vacances, avec ces révélations. Il y avait, dans le scénario, tous les ingrédients d’une comédie populaire bien sentie et, avec Elodie Bouchez, Manu Payet, Nicolas Duvauchelle et William Lebghil, le tournage avait des airs de colonie de qu’allez-vous entreprendre ces prochains mois ?BĂ©rĂ©nice Bejo - Après avoir enchaîné de nombreux projets, j’ai décidé de m’accorder une pause. Cela me permettra de m’occuper de mes enfants et de laisser venir les choses tranquillement. J’achève tout juste le tournage d’une adaptation du Colibri réalisée par Francesca Archibugi, avec Laura Morante et Nanni Moretti. J’avais déjà joué en italien pour Marco Bellocchio dans Fais de beaux rêves mais, cette fois, il s’agissait d’interpréter de vraies scènes avec de longues répliques. J’ai beaucoup aimé relever ce défi, car jouer en italien, ça revient à enfiler un déguisement supplémentaire qui empêche de trop intellectualiser et offre la liberté d’oser encore plus de choses. Un peu comme jouer avec un nez rouge de la cave, de Philippe Le Guay. Sortie le 13 octobre.>A dĂ©couvrir Ă©galement LĂ©a Seydoux Avec Daniel Craig, nous partageons une forme d'animalitĂ© »
Etattaque - Boulevard Voltaire. 1959, la nuit de l’Observatoire : 7 – Mitterrand revient. Et attaque. Comment les affaires ont abĂźmĂ© la France. Nous vous racontons, en 13 Ă©pisodes, l'une des affaires les plus marquantes du rĂ©gime et sur son traitement mĂ©diatique, l'affaire de l'Observatoire, qui faillit bien coĂ»ter la carriĂšre d'un

J’ai eu droit Ă  la totale les freins de ma voiture ont Ă©tĂ© sabotĂ©s, il y a des snipers sur les toits en face de chez moi, on a enlevĂ© mes enfants Ă  la sortie de l’école j’ai dĂ©jĂ  rĂ©cupĂ©rĂ© un doigt, je ne compte plus les appels tĂ©lĂ©phonique Ă  rĂ©pĂ©tition au milieu de la nuit, des types en imper mastic me suivent dans la rue, je pense qu’il y avait du polonium dans mes chicons mardi
mais j’ai tenu bon. LĂ , je craque, vous avez gagnĂ©, je vais recommencer Ă  poster sur ce blog mais je vous en prie, rendez-moi ma vrai dire, je ne sais pas trop par quel bout le prendre. Allez hop Le suis en dĂ©licatesse avec mon genou droit. Ça faisait des annĂ©es que j’entretenais un rapport amour/haine avec ce dernier et pour le moment on est en crise. J’ai dĂ©cidĂ© de ne pas tenir compte de ses griefs et je lui ai donc infligĂ© de longues et rapides sorties de CĂ P. Ces sorties ont Ă©tĂ© de plus en plus longues et de plus en plus rapide. Le point culminant a Ă©tĂ© atteint dans les Vosges et puis il s’est fĂąchĂ© et ne veut plus courir avec moi, c’est la sĂ©paration bĂȘte et brutale. Je me suis rendu lundi chez l’orthopĂ©diste qui rĂ©serve son diagnostique jusqu’aux rĂ©sultats de la RĂ©sonance MagnĂ©tique mais il semble le mĂ©nisque soit en cause. C’est plutĂŽt rassurant car c’est bĂ©nin comme problĂšme et dans le plupart des cas rĂ©glĂ© par le retrait de la partie endommagĂ©e. Je suis donc de retour sur le vĂ©lo et je dois dire que le travail foncier effectuĂ© en CĂ P est payant Ă  tous niveaux je suis pratiquement 4 kilos plus lĂ©ger que l’annĂ©e derniĂšre Ă  la mĂȘme Ă©poque, la forme est excellente – Ă  part la vitesse mais je n’ai encore rien fait de ce cĂŽtĂ©-lĂ  – et l’envie de rouler immense. La prĂ©paration sĂ©rieuse pour Bergame est amorcĂ©e, le moral excellent
ça va sortiesTout pareil condition optimale. Faire le dĂ©tail de mes exagĂ©rations ne me parait pas conciliable avec mon emploi du temps actuel. A retenir tout de mĂȘme le concert des Meteors Ă  Waregem, le carton mort bourrĂ© place Poelaert. Note pour plus tard l’enchainement Meteors/20 Pils/ 100 bornes Ă  vĂ©lo » n’est pas optimal du point de vue de la performance. Demain, The Elektrocution » au Magasin travailLa vache. Moi j’ai toujours Ă©tĂ© du genre rapide au boulot. ConsĂ©quence j’ai toujours eu pas mal de temps libre. De fait, si je fais en deux jours un truc prĂ©vu en quatre 
 LĂ  je ne sais pas si je deviens lent soudain je me demande si je ne sous-estime pas l’impact du Picon-BiĂšre sur mes facultĂ©s intellectuelles, mais la tendance est en train de s’inverser je bosse comme un dingue, six jours sur sept, 10 heures par jour et le retard s’accumule. La familleC. est dans le plĂątre depuis le 7 fĂ©vrier suite Ă  une opĂ©ration des ligaments de la cheville. Tout se dĂ©roule pour le mieux mais je ne serai pas fĂąchĂ© de la voir se rĂ©tablir car je n’ai vraiment pas besoin d’un surcroit de tĂąches mĂ©nagĂšres pour le moment, il y dĂ©jĂ  assez de gens qui en veulent Ă  mon va bien. Nous sommes partis en vacances dans les Vosges. F. a pu skier tous les jours et est enchantĂ© d’avoir obtenu son Ourson, on a pas fini d’en entendre parler. Fr ., Ve. et leurs enfants nous ont accompagnĂ©. On s’est bien entendu, une expĂ©rience Ă  renouveler sans aucun doute. Pour ma part pas de ski, mon genou ne supportant plus que difficilement la montĂ©e de l’escalier en fin de semaine. Fr. se voit par contre dĂ©jĂ  bien aux prochains Jeux Olympiques d’hiver, aprĂšs Herminator, en a profitĂ© pour nous faire une petite crise d’asthme et une varicelle. Je suis assez admiratif devant sa capacitĂ© Ă  ne jamais faire les choses Ă  moitiĂ©, les chiens, les chats, les pommes, les arbres 
 toutes ces sortes de resteIl m’apparait que de nombreux blogs sont en berne pour le moment. Moi aussi j’ai Ă©tĂ© victime d’un effet de lassitude il y a peu, j’en veux pour preuve le nombre pour le moins restreints de posts aux cours de ces derniĂšres semaines. Je ne sais pas si c’est par esprit de contradiction mais maintenant que nombreux sont ceux qui ferment boutique, j’ai envie de m’y suis depuis peu l’heureux possesseur d’un Ipod Nano de 8 Gb. Il y avait des annĂ©es que je n’avais pas Ă©coutĂ© autant de musique. Je suis plongĂ© pour le moment dans la saison 6 des Sopranos. J’ai beau avoir adorĂ© les deux premiĂšres saisons de Prison Break, les Sopranos c’est de la balle. See ya cooz.

6rĂ©ponses Ă  “Reviens LĂ©on ! J'ai les mĂȘmes Ă  la maison !!!” Maho ĂŻ dit : 23 mars 2018 Ă  14 h 15 min. Lui il a un pote au feu. 😉 ♄. jmn40 dit : 23 mars 2018 Ă  14 h 17 min. adiou
13 Juin 2017 Cette publicitĂ© pour Panzani ne parle peut-ĂȘtre pas aux jeunes "start-uper "... mais elle me fait sourire...et c'Ă©tait avant d'imaginer cette belle jument Ardennaise en ravioli...Il n'empĂȘche que je trouve cette initiative française et maintenant europĂ©enne plutĂŽt intĂ©ressante. Les potentiels humains nous les avons, il ne nous manque que l'audace et l'agilitĂ© des finances... ça doit bien ĂȘtre possible,non ? surtout Ă  l'Ă©chelle europĂ©enne !Et lĂ , les GAFA n'ont qu'Ă  bien se tenir... D'ailleurs si Trump continue, ne viendraient-ils pas nous rejoindre ?

Genchirevient jouer Ă  la maison Ce FC LiĂšge – Durbuy revĂȘt un caractĂšre tout particulier pour Fabrice Genchi, voisin et ancien joueur du club liĂ©geois. FC LiĂšge - Durbuy : Dimanche, 15 h

ReviensIbĂ©, j'ai les mĂȘmes Ă  la maison! 10 octobre 2017. Reviens IbĂ©, j'ai les mĂȘmes Ă  la maison! Je n'arrive pas Ă  me faire Ă  l'idĂ©e que l'Ă©tĂ© est fini, et bien fini vu qu'on est au tiers . 228 409 420 198 55 59 32 340

reviens j ai les mĂȘmes Ă  la maison