Cinémafantastique : le Festival de Gérardmer se fera en ligne La 28e édition de ce grand rendez-vous se déroulera, mais uniquement sur le Net, du 27 au 31 janvier, avec
De la réalisation à la production et à la programmation, vous changez de casquette, mais l’objectif est le même, l’amour du cinéma. Parlez-nous de votre parcours... Diplômé des beaux-arts de l’Université libanaise avec des études cinématographiques supérieures à Séoul, mais aussi à Paris X et à Montpellier, je suis établi à Paris et j’ai commencé ma carrière dans le milieu cinématographique en 2012 en réalisant trois courts-métrages et deux documentaires financés par le Centre national du cinéma CNC en France. Petit à petit, je me suis orienté vers la production qui occupe actuellement tout mon temps, car aujourd’hui je suis chargé de production à la télé France 24. Quant à la programmation de festivals, c’est l’amour inconditionnel que je porte au cinéma qui m’a poussé à prendre cette voie. On dit souvent que le cinéma est utilisé comme instrument visuel dans un système éducationnel. Je trouve qu’on n’en fait pas assez. Qu’est-ce qui vous a poussé à créer le LIFF Lebanese International Film Festival ? En 2016-2017, j’étais déjà en France. Le concept de festival de films indépendants n’existait pas encore au Liban. Il y avait beaucoup de festivals que j’aimais beaucoup, mais pas ce genre-là . Or le monde entier parlait déjà de la mort de Hollywood. Comme je dirigeais déjà un festival de films indépendants aux États-Unis, je voulais faire de même au Liban en créant le LIFF, qui a eu deux éditions réussies. Après le LIFF, comment vous est venu à l’esprit le festival du film du fantasme qui est une idée assez particulière en son genre ? Pour moi, la France c’est la liberté de penser, d’expression. J’étais étonné que dans ce pays de libertés, il n’y ait pas de festival qui parle du fantasme ;j’ai donc entrepris d’en créer un et j’ai soumis l’idée à nos partenaires qui y ont tout de suite adhéré Dineta Williams-Trigg codirectrice ainsi que les sociétés ou studios Full Figure Productions, High Octane Pictures LLC, A Night of Misfit Films Film Festival – USA, LIFF et We Film Festival. Ce festival s’articule sur trois axes le premier, sur le fantasme érotique ; le deuxième est centré sur le fantastique et le troisième sur la science-fiction. Et bien sûr le point commun est le film dramatique qui reste basique ». On a voulu créer une entité différente. C’est un festival qui parle du fantasme pas dans son sens vulgaire », mais dans son sens psychologique. Quant à l’image, elle devrait être le support de la représentation du fantasme. D’où vient le fantasme ? Comment se concrétise-t-il ? Ce sont ces questions-là que nous nous sommes posés. Nous allons donc au-delà du sens sexuel et conventionnel du mot pour atteindre une certaine réalité virtuelle. Il s’agit de parler de ce sujet en mode sens critique et du comment de sa représentation au cinéma. Le festival a deux volets un numérique et l’autre en présentiel. Pourquoi ce choix ? Quand nous avons commencé à préparer ce festival, nous étions sept organisateurs et tous programmateurs d’autres festivals. Le Covid venait de se propager et le confinement nous imposait des règles strictes. Le festival a commencé et se déroule durant tout le mois de juin en ligne voir plus bas. Les débats auront lieu fin juin sur la version numérique. Tout le monde pourra y participer et poser des questions. Ensuite, en novembre, ce sera la partie présentielle qui verra uniquement les films qui ont gagné en ligne être projetés dans cette seconde édition physique. La première partie est donc une sorte de promotion pour la seconde édition. Gauthier Raad, réalisateur, programmateur et producteur. Photo DRPour un sujet aussi délicat et qui ne doit pas verser ni dans le voyeurisme ni dans l’érotisme, vous avez dû être secondé par des spécialistes ? En effet, c’est très différent de travailler sur ce festival de niche qui est très délicat. Nous avions besoin donc d’une équipe différente pour être à la fois dans la tolérance mais aussi dans l’objectivité. J’avoue moi-même être une personne très ouverte d’esprit mais, d’autre part, j’ai un esprit mi-oriental, mi-européen et je suis sûr que je n’ai pas les mêmes normes que les Américains par exemple. Je me mets d’autres limites et d’autres garde-fous. Ma partenaire professionnelle américaine, Dineta Williams-Trigg codirectrice, et moi avons des visions différentes sur le fantasme. Par ailleurs, le studio High Octane Pictures LLC nous appuie et nous renforce. Il y a donc douze personnes qui regardent les films projetés et donnent leur évaluation. C’est après, à la sélection finale, que je valide ou pas. Peut-on dire que l’édition de juin est un ballon d’essai ? Même si nous sommes sûrs de notre idée et de ce concept, nous travaillons depuis sept ans sur d’autres festivals. C’est dire combien nous avons assez d’expérience dans ce domaine, mais, ceci dit, personne ne peut contrôler la réaction du public. Par ailleurs, nos partenaires ont tout de suite compris qu’il n’y aura pas de femme nue sur l’affiche, car il ne s’agissait pas uniquement de cela. Lorsque nous avons lancé l’appel à candidatures, nous avons reçu plus de 200 films. Ce qui me désole, c’est que nous n’avons reçu aucun film du Maghreb oriental et du Moyen-Orient. Nous avons donné la chance à des jeunes et des moins jeunes, à des nouveaux venus et des confirmés. Cela fait 12 jours que les films sont en ligne, le public a fortement adhéré et nous n’avons reçu aucune réaction négative. En novembre, ces films seront projetés en présentiel, auxquels s’ajouteront des titres supplémentaires. Ils seront bien sûr payants deux euros, car ils ne doivent pas être accessibles à tous. À l’issue du festival, un prix sera octroyé. Le choix du jury se portera sur un film en fonction de l’originalité de la représentation du fantasme. Il ne s’agira pas de celui qui a créé le scénario le plus délirant, mais de celui qui a traité le fantasme de la manière la plus originale. Pour suivre le festival en ligne De la réalisation à la production et à la programmation, vous changez de casquette, mais l’objectif est le même, l’amour du cinéma. Parlez-nous de votre parcours... Diplômé des beaux-arts de l’Université libanaise avec des études cinématographiques supérieures à Séoul, mais aussi à Paris X et à Montpellier, je suis établi à Paris et j’ai commencé ma carrière dans le...
LeFestival International du Film Fantastique de Bruxelles, qui fête ses 40 ans cette année, se déroulera du 29 août au 10 septembre à Brussels Expo, au Heysel. D ans 3 salles de cinéma
Alors que la ville rose manque cruellement d'événements liés au cinéma de manière générale, c'est un genre bien particulier de films qui va débarquer à Toulouse et ce pour notre plus grand plaisir de cinéphiles. Le cinéma de genre fantastique, c'est lui qui va être à l'honneur au mois d'avril et si l'on ne connait pas encore la programmation exacte on peut d'ores et déjà annoncer que la démarche et l'originalité du projet ont su nous convaincre assez vite. Oubliez, Gérardmer, Deauville ou Cannes enfin, pas trop non plus, on parle là de manifestations immanquables et essentielles au développement du 7ème art en France, c'est à Toulouse que l'on va très bientôt pouvoir enfin découvrir des oeuvres qui sortent des sentiers battus, des oeuvres qui proposent une vision non formatée et pour le moins originale. Grindhouse Paradise, c'est le petit nom du Festival du Film Fantastique de Toulouse nom sous forme d'hommage à ces salles de cinéma qui diffusaient aux Etats-Unis des films de genre, principalement d'exploitation qui aura lieu à l'American Cosmograph les 24, 25 et 26 avril prochains. Que ce dernier se déroule dans ce cinéma bien connu des Toulousains n'a rien d'étonnant tant la programmation habituelle des lieux et l'endroit lui-même se prêtent totalement à la tenue d'un tel événement. Ce long weekend sera l'occasion de mettre en lumière un genre encore trop souvent considéré comme "mineur" et qui pourtant n'a de cesse de conquérir un public toujours plus nombreux tout en trouvant grâce aux yeux de certains critiques qui savent se montrer ouverts d'esprit, parfois. Grindhouse Paradise se donne donc pour objectif de faire découvrir ou redécouvrir des films cultes, des inédits, des avant-premières, tout en faisant connaissance avec l'univers de jeunes réalisateurs prometteurs ou en participant à des séances cultes afin de prendre conscience de l'ampleur d'un long-métrage sur grand écran, qu'il s'agisse d'un grand classique ou d'une pépite malheureusement trop souvent oubliée. En plus des diverses séances, Grindhouse Paradise proposera également des masterclass, des tables rondes, des séances de dédicaces ou encore des expositions. Le tout naturellement parsemé de rencontres qui sont comme toujours l'essence même d'un festival réussi. La programmation complète sera dévoilée le lundi 9 mars et en attendant vous pouvez toujours aider Grindhouse Paradise en participant à leur cagnotte Ulule avec des contreparties géniales à la clé. Grindhouse ParadiseDu 24 au 26 avril 2020Page Facebook OfficielleCagnotte Ulule
Pandémiede la Covid-19 oblige, la 38e Festival du Film Policier se déroulera entièrement en ligne du 26 au 30 mai 2021. Et l'édition suivante se déroulera dans la ville de Reims, ont
Réalisateur singulier, Bertrand Bonello conjugue depuis plus de vingt ans exigence d'auteur et inspiration fantastique. Dans sa filmographie, entre autres, L'Apollonide, Nocturama ou encore Zombi Child. En cette période qui rappelle le pire des scénarios de série B, il préside le jury du 28e Festival international du film fantastique de Gérardmer. Une édition spéciale qui se tient jusqu'au 31 janvier en mode virtuel, Covid Point Pop Comment vivez-vous cette édition particulière ?Bertrand Bonello Évidemment, ce serait plus agréable de découvrir les films en salle, avec mon jury. Surtout que je crois qu'il y a une ambiance particulière à Gérardmer. Toutefois, malgré la déception de ne pouvoir vivre le festival en vrai, j'apprécie qu'il ait été maintenu et adapté, car je me dis que, malgré tout, il y a des professionnels qui continuent à défendre des films, à maintenir quelque chose d'un peu vivant. Je l'ai accepté pour ça, pour soutenir les organisateurs, qui se démènent et se sont montrés très inventifs. Et puis, cela me permet de voir des films nouveaux, un plaisir oublié, que ne compensent pas les plateformes ou les DVD. Je suis content qu'il y ait beaucoup de presse, que les places se soient vendues en une heure. Cela témoigne d'un vrai désir du les douze films de la sélection de façon collégiale, avec le jury, ou chacun chez soi ?Cela dépend. Hier, Gaspard [Ulliel] est venu et on en a regardé un film ensemble. Sinon, nous sommes seuls. Je reçois des liens et je projette les films sur un grand écran. Ensuite, on se réunit pour la délibération, a priori en présentiel, mais dans des conditions extrêmement tant que spectateur, êtes-vous fan du cinéma d'horreur ?C'était ma première approche du cinéma, quand j'étais ado. C'était le début des années 1980, j'habitais à la campagne, et le marchand de journaux du coin faisait office de vidéoclub. Il recevait quelques VHS, et ce n'étaient que des films de genre. C'est ainsi que j'ai découvert David Cronenberg, Dario Argento, Lucio Fulci, Mario Bava, George A. Romero, Don Coscarelli… Après, je me suis un peu désintéressé de ce type d'univers. Et quand, plus tard, j'y suis revenu, en connaissant mieux le cinéma, je me suis aperçu que ces films étaient plus que divertissants. Il y en avait de bons, réalisés par de grands cinéastes, avec des idées visuelles incroyables. Je connais moins le cinéma de genre des années 1990-2000. Mais, depuis quelques années, je sens un nouvel élan, avec des cinéastes qui prennent ça au sérieux, comme M. Night Shyamalan, Ari Aster Hérédité, Midsommar, Jordan Peele Get Out, Us ou David Robert Mitchell It Follows. Ce que les auteurs de films d’horreur mettaient en scène via un cinéma de la peur, c’étaient leurs propres angoisses »Bertrand BonelloDu cinéma de genre, mais signé de vrais auteurs, en somme…Si l'on considère les films de la fin des années 1970 et du début des années 1980, on se rend compte qu'ils étaient très premier degré. Il n'y avait pas de cynisme de la part des réalisateurs. Ce qu'ils mettaient en scène, c'était leur propre peur du monde, leurs propres angoisses, leurs propres inquiétudes. Chose qui s'est perdue par la suite au profit du pur plaisir, du divertissement. Et là , j'ai l'impression que ça revient. On recommence à parler du monde à travers le cinéma de genre, qui permet de porter sur ce qui nous entoure un regard politique d'une certaine manière – sans discours, mais en ayant recours à la métaphore, au symbole…Il y a deux films français dans la compétition, La Nuée et Teddy. Pensez-vous que l'on peut véritablement réaliser des films fantastiques en France ?Oui, à condition de l'assumer. Prenons un exemple, qui est pour moi l'un des plus beaux films fantastiques, et qui est français Les Yeux sans visage, de Georges Franju. Ce film est très réussi, notamment parce qu'il accepte complètement d'être français et en aucun cas Franju n'essaie de donner un côté américain à son récit, à ses acteurs, à ses accessoires, à sa mise en scène. Il travaille à son endroit ». Aujourd'hui, je pense que l'on peut faire de très bons films fantastiques, à condition de ne pas chercher à copier et surtout d'assumer les gens que l'on regarde, le pays que l'on regarde, la manière dont on les de Tiresia à Zombi Child, en passant par Nocturama, vous avez flirté dans quasiment tous vos films avec une dimension fantastique, onirique, non ?Et même, disons-le, d'horreur… Je pense que je ne ferai jamais un film de genre frontal, parce que cela signifierait entrer dans un certain marché, avec des diffuseurs bien précis. En revanche, que les récits soient teintés de fantastique, d'onirisme, d'étrangeté, qu'il y ait une distorsion du réel qui nous emmène vers une dimension de genre », moi j'aime projets ?J'ai beaucoup de projets. C'est l'avantage quand on est auteur avec le confinement, eh bien, on écrit ! Je développe un long-métrage qui s'appelle La Bête, très teinté de fantastique. Un mélo sur trois périodes où il est question de vies antérieures, avec Léa Seydoux et Gaspard Ulliel. J'ai aussi un projet de série. Le fait d'avoir devant soi six ou huit heures pour raconter une histoire, de pouvoir imaginer des bifurcations, de fausses pistes, je trouve cela top 5 de ses grandes frayeursShining Je l'ai vu en salle, et j'ai regretté d'y être allé ! Il faut dire que j'avais douze ans. C'est un drôle de film. Souvent, les films fantastiques ont un postulat, et ils s'y tiennent. Si ce n'est pas le cas, il y a une explication à la fin. Et là , Kubrick ne respecte aucune règle, il fait ce qu'il veut ! La scène où Nicholson embrasse une très jolie fille et voit dans le miroir qu'il étreint un corps décrépit m'avait glacé. »Massacre à la tronçonneuseJe l'ai revu il n'y a pas très longtemps, et il me laisse toujours une vraie peur diffuse. Je ne retiens pas une scène en particulier, mais il y a dans ce film un climat malsain complètement dingue. Sans doute est-ce dû au fait qu'il n'y a pas de résolution, pas de scène explicative… ça se termine comme ça a commencé, sur une note vraiment malsaine et 3Pour le coup, j'en garde une image très forte, celle de ces petits enfants avec un bec-de-lièvre, un anorak de ski pourri et un marteau. Ils s'infiltrent dans une cuisine et s'acharnent à tuer. Je l'ai revu il y a peut-être deux ans et je trouve toujours cette image démente. Ça tient à rien, mais c'est génial un enfant transformé par Cronenberg en image du mal. Le film a été restauré récemment et passe à Gérardmer. Je le connais par PeaksDavid Lynch est vraiment capable de me faire très peur. En voilà un qui n'a jamais fait de film d'horreur au sens strict, mais qui est pour moi l'un des plus grands cinéastes à cet endroit-là . Son cinéma n'est qu'une distorsion du réel. En tordant le temps, les cadres, il parvient à faire peur avec un simple champ-contrechamp de deux personnes qui parlent dans une pièce ! Le film adapté de la série Twin Peaks me fait vraiment a Stranger Calls Terreur sur la ligneJ'adore ce film de série B. L'histoire est celle d'une baby-sitter qui appelle la police parce qu'elle est harcelée au téléphone. La police la met sur écoutes et lui apprend que le coup de fil vient de la maison où elle se trouve. Ça m'avait fait hyper peur ! Cette première partie dure 25 minutes, et après il y a une ellipse de sept ans, et on reste avec le tueur. C'est une chose très rare de s'attacher à ce genre de personnage. Et c'est très émouvant.
LeBIFFF, le festival international du film fantastique de Bruxelles, fêtera cette année ses 40 ans et se déroulera du 29 août au 10 septembre à Brussels Expo au Heysel. Vous y découvrirez durant toute la durée du festival plus d’une centaine de longs et courts métrages, dans ses 3 salles de cinéma, avec un public unique au monde.
La 15ème édition du Festival du Film Fantastique de Gérardmer se déroulera du 23 au 27 janvier 2008. Chaque année le Festival a un thème, cette année ce sera Le Fantastique et les métamorphoses de la réalité ». On entrevoit de suite toute la richesse de ce thème qui comprend la façon dont le cinéma fantastique traduit, transcrit ou transforme la réalité à l’écran. Quelle est la frontière entre fantastique et réalité, comment le fantastique traite des phénomènes sociaux et présente la société actuelle ? Dans le cadre de ce thème un grand colloque sera organisé au Casino du Lac le Vendredi 25 Janvier à 14h00 horaire et jour à confirmer. Les intervenants du colloque et les thèmes seront 1 – Fantastique, cinéma et mutations Jean-François Rauger, Directeur de la programmation à la Cinémathèque Française, critique de cinéma. 2 – Le Fantastique, métamorphoses de la réalité chez l’adolescent et plus largement le public du cinéma fantastique Serge Tisseron psychanalyste, psychiatre spécialisé dans les relations adolescence/image. 3 – Les métamorphoses de la réalité dans la société David Foenkinos écrivain, scénariste, auteur d’un roman écrit à partir du fait divers Audry Maupin. Ce 15 ème Festival du Film Fantastique de Gérardmer rendra aussi hommage au CINEMA FANTASTIQUE ESPAGNOL. 14 films seront projetés ABRE LOS OJOS de Alejandro Amenabar ACTION MUTANTE de Alex de la Iglesia CEREMONIE SANGLANTE de Jorge Grau DANS LES REPLIS DE LA CHAIR de Sergio Bergonzelli EL DIA DE LA BESTIA de Alex de la Iglesia LE LABYRINTHE DE PAN de Guillermo del Toro LA RESIDENCE de Narcisso Ibanez Serrador L’ANGE EXTERMINATEUR de Luis Bunuel L’HORRIBLE DOCTEUR ORLOF de Jess Franco LA MARIEE SANGLANTE de Vicente Aranda LA CHEVAUCHEE DES MORTS VIVANTS de Amando de Ossorio LES REVOLTES DE L’AN 2000 de Narcisso Ibanez Serrador TERREUR DANS LE SHANGHAI EXPRESS de Eugenio Martin TESIS de Alejandro Amenabar THE ABANDONED de Nacho Cerda Le Festival proposera aussi une rétrospective METAMORPHOSES & MUTATIONS » Voici les films qui seront projetés dans le cadre de cette rétrospective DOCTEUR JEKYLL ET MISTER HYDE de Victor Fleming DONNIE DARKO de Richard Kelly HOLLOW MAN de Paul Verhoeven INVASION OF THE BODY SNATCHERS de Don Siegel LADYHAWKE de Richard Donner LA FELINE CAT PEOPLE de Jacques Tourneur LA MOUCHE THE FLY de David Cronenberg LA NUIT DU LOUP GAROU THE CURSE OF THE WEREWOLF de Terence Fisher SPIDERMAN de Sam Raimi X MEN de Bryan Singer Il y aura aussi une exposition de Bandes Dessinées. Le Festival de Gérardmer présentera cette année, à la Maison de la Culture et des Loisirs, une exposition des oeuvres de LUDOVIC DEBEURME. BIBLIOGRAPHIE SELECTIVE › Ouvrages illustrés L’étrange cas du Dr Jeckyll et de Mr Hyde D’après R. L. Stevenson ; adapt. Luc Lefort. – Nathan Jeunesse Albums Nathan, 2001. Contes et légendes de la nature enchantée Nathan Jeunesse Contes et légendes, 2003. Le jour est la nuit Hubert Ben Kemoun. – Nathan Jeunesse Comète, 2002. Gargantua D’après François Rabelais adapt. Christian Poslaniec. – Milan, 2004. Le chancellor Jules Verne – Actes Sud junior Les mondes connus et inconnus, 2004. › Bandes dessinées Collaboration à Comix 2000 anthologie internationale de bande dessinée. – L’Association, 1999. Céfalus – Editions Cornélius Collection Pierre, 2002. Mes ailes d’homme – Editions de l’An 2 Roman visuel, 2003. Ludologie – Editions Cornélius, 2003. Lucille – Editions Futuropolis, 2006 Prix René Goscinny 2006 et essentiel au Festival d’Angoulême 2007. Le Grand Autre – Editions Cornélius, 2007 nominé aux essentiels du Festival d’Angoulème 2008. VENTE ET TARIFS DES PASS La vente des pass débute le samedi 19 janvier 2008 à l’espace Tilleul, situé rue Charles de Gaulle. La billetterie sera ouverte à partir de cette même date et joignable au numéro suivant 03 29 63 48 48. Catégorie de Pass / Prix unitaire / Tarif groupe* Pass Séance / 8,00 € / 6,50 € Pass Jeudi ou Vendredi / 22,00 € / 17,50 € Pass Samedi ou Dimanche / 32,00 € / 25,50 € Pass Week-end / 40,00 € / 32,00 € Pass Festival / 78,00 € / 62,50 € * Groupe à partir de 20 personnes Information au 01 41 34 20 22 Les pass permettent l’accès à toutes les salles de projection, dans la limite des places disponibles. La plupart des films inédits présentés en avant-première ne possédant pas de visa d’exploitation, les séances sont interdites aux moins de 16 ans. Les spectateurs sont donc invités à se renseigner avant de se présenter aux salles de projection. Il est rappelé que l’achat d’un pass ne donne en aucun cas accès à un film déterminé. A chaque entrée, des files d’attente séparées sont mises en place et régulent l’ordre dans lequel se fait l’accès aux salles, selon les priorités indiquées comme suit Pass Festival • Pass Week-End • Pass Journalier • Pass Séance Les Pass Séance sont prioritaires à la Salle Paradiso Les Cérémonies Officielles sont réservées en priorité aux invités. Lire aussi 17 août 2022 Cinéma plein air à Metz Le petit vampire », c’est ce soir 21 juillet 2022 Festival de musique classique Metz’ival » des concerts gratuits jusqu’au 24 juillet 12 juillet 2022 Constellations à Metz le mapping n’aura pas lieu le 14 juillet 8 juillet 2022 Hop Hop Hop à Metz et en métropole ça commence ce soir ! 30 juin 2022 Festival Hop Hop Hop 2022 12 nouvelles communes de l’Eurométropole de Metz assiégées
Lefestival, qui se déroulera cette année du 5 au 15 octobre, constitue l’un des événements culturels les plus médiatisés en Catalogne. Connu dans le monde entier par tous les amateurs du genre fantastique qui l’ont peut-être connu à ses débuts sous le nom de « Première semaine Internationale de Cinéma Fantastique et d’horreur », il célèbre sa 50ème édition et connaît
Aller au contenu Aller à la recherche Aller à la navigation Actualités Publié le 2 février 2022 dans Actu ciné Article précédent Article suivant Le Festival international du film fantastique de Bruxelles se déroulera à Brussels Expo du 29 août au 10 septembre Après deux années particulièrement gratinées pour la culture, 2022 est définitivement celle du retour du BIFFF en présentiel ! Avec le changement de lieu à Brussels Expo et l’anniversaire ô combien symbolique des 40 ans, le Festival offrira une édition à la hauteur de vos attentes et de sa réputation ! Avis des internautesdu film Vous devez être connecté pour ajouter une critique Connectez vous Créez un compte Soyez le premier à publier une critique Catégories Newsletter Cinebel Suivez Cinebel
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